Louve Q. Marshall ◭ Je dois admettre qu’il est possible que dieu ne m'aime pas du tout.
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Louve Q. Marshall
Sujet: Louve Q. Marshall ◭ Je dois admettre qu’il est possible que dieu ne m'aime pas du tout. Dim 16 Sep - 13:21
Louve Quincy Marshall
featuring Karen Gillan
« One last smoke »
nom ❖ Marshall prénom(s) ❖ Louve Quincy surnom(s) ❖ Louve ; Quinn ; âge ❖ 19 ans date et lieu de naissance ❖ 24 mars 1993 à Paris statut civil / orientation sexuelle ❖ Célibataire, Hétérosexuelle. études / métiers ❖ Chanteuse à mi-temps au Hard rock café ; Étudiante en théâtre groupe ❖ Alpha Omicron Pi. célébrité ❖ Karen Gillan.
◭ Que penses-tu de God save the pim's ?
Si j'avais une tumeur je la nommerais comme ce pseudonyme qui ne cesse de hanter les étudiants même les plus mystérieux. Cette blessure que l'on a au palais et qui ne guérit que si on cesse de la lécher mais on ne peut pas, une petite fouineuse qui ne cherche qu'à détruire quiconque ose se mettre en travers de son chemin. Est-ce qu'elle m'effraie ? Vous êtes bien loin du compte. God save the pim's est une personne parmi tant d'autres et ne représente rien à mes yeux, mais son nom résonne dans les couloirs comme si une bête noire hantait les corridors de l'université et tant de popularité pour un fantôme, une chose qui ne semble pas exister, le fantasme d'une petite fille mal dans sa peau m'agace royalement.
◭ Es-tu pour ou contre les confréries d'élèves ?
Pour, en même temps, étant dans une confrérie, je n'avais pas le choix, si . Au fond ma réponse vous importe peu, elle ne changera pas le monde. Mais si vous insistez je vous dirai que les confréries peuvent être bonnes comme mauvaises, les soirées, se faire des amis et ne pas être seule c'est bien, mais les apparences peuvent être trompeuses, les coups bas et les trahisons ne sont pas rares lorsque l'on intègre un certain groupe, mais n'est-ce pas le prix à payer pour toucher la popularité du bout des doigts ?
◭ Que penses-tu de l'université ? pourquoi l'as-tu choisie ?
La liberté, l'évasion. Voilà ce que je cherchais. M'éloigner le plus possible de tout ce qui pouvait se rapporter à ma famille, quitter ma douce France pour me plonger dans une culture totalement différente, affronter un monde qui n'était pas le mien et finalement intégrer la seule université qui m'ouvrait ses portes. Plutôt accueillante et d'un charme sans précédent, il faut dire qu'au fond je ne regrette pas d'avoir débarqué entre ces murs.
◭ Fais-tu partie d'une confrérie ? Si oui qu'en penses-tu ? Si tu ne fais pas partie d'une confrérie, voudrais-tu y adhérer?
À première vue, tout semblait être écrit de A à Z pour mon intégration au sein de la confrérie des filles à papa. Mais le destin n'est rien comparé à ce que je suis capable de faire. J'ai intégré la sororité des reines de la débauche tout simplement parce que les fêtes et les soirées, qu'importe le genre, c'est mon domaine, mes terrains de chasse. Oublier les études et laisser place à l'amusement tous les soirs, être vu, contemplée par les autres étudiants comme étant les rois et reines de la fête, n'est-ce pas merveilleux ?
◭ Es-tu plus automne ? hiver ? printemps ou été ?
L'été. Pourquoi l'été ? Oh non ne vous imaginez pas la plage, le soleil et les vacances. L'été pour sa chaleur étouffante, l'été pour son temps capricieux, tantôt insupportable, tantôt éclatant. Sec et chaud, calme, paisible et puis vient l'orage, le grondement qui annonce un changement radical et la pluie qui s'abat, le vent faisant basculer les arbres et virevolter les feuilles, les nuages qui passent et trépassent laissant derrière eux un paysage inondé se reconstruisant petit à petit. La sécheresse et le calme reprenant petit à petit leurs droits.
J'étais seule ce soir, encore et toujours solitaire me pavanant dans cette robe qui m'allait si bien, mais que je détestais tellement, marchant lentement sur le quai de la Seine qui semblait embrasé en voyant toutes ces lumières scintiller. " Paris, mon beau Paris, je t'aime tant mais qu'es-tu devenu ? Ta magie se noyant dans une triste réputation, la violence qui s'infiltre dans les rues et terrorise les habitants. Mon doux Paris, tu as tellement changé, mon coeur ne bat plus en voyant ces bateaux voguer sur le fleuve qui te transperce comme une flèche au milieu de la poitrine. Les souvenirs pèsent et une triste mélancolie s'empare de moi un peu plus chaque jour me rappelant à quel point ma tendre enfance me manque. Courir sans cesse et divaguer dans les rues le sourire aux lèvres, riant aux éclats. L'innocence et la pureté d'un enfant s'amusant à attraper ses camarades pour passer le temps, ignorant le monde et le quotidien morne des adultes. Chaque jour était une découverte, une aventure, un livre dont le début n'était même pas encore écrit. À présent rien ne me fait sourire, les obligations et les devoirs commencent à peser et je suis las de toutes ces choses que la vie nous fait subir. Mon doux Paris j'aimerais revenir à ce que je fus car je crois qu'au fond de moi, mon enfance était ma vie. " Je refermais le petit journal à la couverture dorée dans un long soupire. Mes yeux se levèrent au ciel et j'observais d'un air abattu les étoiles scintillaient sur ce qui semblait être un infini drap noir. Je rêvais de liberté, d'évasion recluse dans cette cage qu'était ma vie. J'étais lassé de tout, des visages qui m'entouraient, des paysages que je voyais, des paroles que j'entendais. Tout devenait un peu plus mélancolique, les couleurs ternissaient à vue d'oeil et le soleil jadis haut à son zénith laissait place à la pluie battante qui caractérisait si bien le centre de la France. Petite fille de riches entrepreneurs avec comme seule compagnie, un frère hautain et détestable dont je ne voulais même pas prononcer le nom. J'étais seule, éternellement seule. Je mangeais à ma faim, buvais à ma soif et l'on me couvrait de cadeaux en tout genre, mais rien ne pu combler cette solitude. J'étais une enfant qui débordait de vie, mais qui, une fois reclus dans son immense maison, devenait froide et distante.Je ne savais comment réagir lorsque mes parents me parlaient, devais-je crier ou rire ? Pleurer ou parler . Je ne les connaissais pas, mes géniteurs étaient de propres étrangers à mes yeux et pourtant, pourtant je les aimais. Ils voyageaient, beaucoup, trop même, mais que pouvais-je dire ? Haute comme trois pommes, je ne pouvais réagir à ce qui se passait autour de moi et j'observais finalement de mes yeux innocents la vie et le temps qui coulait. Sage et polie, mes maîtres mots, ceux qui me suivirent durant toute mon éducation, je souriais quand on me parlait, je remerciais lorsque l'on m'offrait quelque chose et m'excusais de la manière la plus soutenue possible lorsque je commettais une erreur. J'étais la jeunesse dorée de Paris et, quitte à ce que l'on pourrait croire, cette réputation, cette chose qui me collait à la peau ne me faisait guère plaisir. Pour tout dire, je détestais mon monde, je détestais les réceptions que l'on disait de riche et je détestais ces robes hors de prix que l'on m'offrait malgré leur beauté plus qu'incroyable. J'étais un électron libre.
Blood, tears & Gold.
On dit que lorsque l'on ferme les yeux sur quelque chose, parfois il suffit d'un choc, peu importe la puissance, un déclic qui nous fait réagir et nous bouleverse. J'étais plongé dans cette eau glacée, mes yeux mi-clos observaient avec un certain désespoir les ténèbres qui me recouvraient petit à petit. Je ne bougeais pas, je ne pouvais pas, je suffoquais. C'est drôle, si proche de la fin et je n'avais aucun remords, je me laissais aller dans un total oubli de moi-même. Le temps s'était arrêté, autour de moi l'eau se figeait, j'étais seule au milieu de tout. Je revoyais cette jolie jeune fille aux bouclettes flamboyantes courir dans les rues de Paris et soudainement la joie et l'ambiance bon enfant laissèrent place à la solitude. Elle était assise sur cette grande chaise trois fois trop haute pour elle et mangeait, seule. Les claquements des couverts résonnaient dans cette immense salle à manger et j'étais planté là à l'observer. Elle était si jolie, un visage d'ange détruit par cette solitude, des yeux vides d'expressions, elle était une partie de moi, c'était moi. Se voir alors que l'on est à deux doigts de passer l'arme à gauche, c'est étrange et vicieux. Je me sentais délaissée, j'étais dans cette voiture, la fin était proche et j'étais seule. Un pont, une pluie battante, j'étais au mauvais endroit au mauvais moment, mais que pouvais-je bien faire ? Bloqué entre ces sièges, ballotée par les vaguelettes de ce fleuve que je chérissais tant, je me laissais sombrer, attendant mon heure, impatiente. Des larmes perlaient aux coins de mes yeux qui s'ouvrirent petit à petit. Une lumière éclatante brûlait me forçait à les refermer alors que j'essayais de grommeler des mots incompréhensibles. On parlait autour de moi, les voix résonnaient dans ma tête comme les sabots de mille chevaux galopant à l'unisson. Tout était flou, je me sentais bien et meurtri à la fois, où étais-je, vivante morte ? Que m'était-il arrivé ? J'avais peur, je criais du plus fort que je pouvais mais on ne m'entendait pas, aucun son ne traversait ma gorge, un simple souffle s'échappa d'entre mes lèvres. un bip constant ne cessait de résonner dans la grande pièce blanche et le matelas aussi inconfortable qu'une paillasse, tout me ramenait à la seule et même conclusion. J'avais survécu par je ne sais quelle intervention divine, mais j'étais bien vivante, respirant, consciente, mais encore plus seule qu'avant. Personne ne se tenait à mon chevet, ma chambre était tristement vide, des fleurs déposées depuis des jours étaient fanées. À ce moment-là, je le savais, je le sentais, ma vie allait prendre un autre tournant.
And the story begin.
S'évader, s'envoler, vouloir m'échapper de tout. Voilà la première chose qui m'a traversé l'esprit une fois le pied dans cette maison qui n'était plus mienne. Je me souviens de cette phrase qui ne fit ni chaud ni froid à mes géniteurs. «Ce soir, je prends le large.» Billets d'avion en main, le regard droit, le visage vide d'expressions, je regardais ce qui semblait être des étrangers se tenant devant moi. Ils n'avaient pas le choix, j'étais libre, libre de tout. La phrase que l'homme avait prononcée ne cesse de me tirailler comme une mauvaise chanson qui refuse de quitter votre esprit, je me souviens de son sourire narquois et ce ton ironique dans sa voix. «C'est l'heure de prendre des risques mon coeur.» Mon coeur, je haïssais ce petit surnom qu'il disait affectif alors qu'il n'était qu'un pauvre étranger à mes yeux, il avait beau être mon père, je ne le considérais pas comme tel. Il ne m'avait pas vu marcher la première fois, "papa" ne fut pas mon premier mot, il avait raté mes dix-huit anniversaires, tous sans exception, il n'était qu'un homme parmi tant d'autres, un tuteur qui n'était pas digne de ce nom. Mes valises se posèrent sans aucun remords sur le sol américain, plus précisément en Caroline du nord. Un nouvel air, une nouvelle culture, de nouveaux parents que je considérais comme de vrais géniteurs. Loin de toute réception à la mords-moi le noeud, loin de la richesse et de famille, j'étais devenu une adolescente comme tant d'autres. Les jours se succédèrent sans qu'aucun regret ne refasse surface, les saisons défilèrent et mes yeux pétillaient autant qu'au premier jour, j'étais comme une enfant dans un magasin de jouets, j'étais comblée. Je tentais par tous les moyens de me fondre dans la masse, devenir une Américaine et c'est ainsi qu'est né mon petit jeu, mes petits tours de passe-passe. Intégrer la sororité des Alpha Omicron Pi, me cacher des yeux des autres et oublier ma vie passée. J'étais connue pour être Louve la frenchie, une fêtarde de haut niveau, garce à ses heures perdues mais surtout, la plus mystérieuse des alphas. Mon passé enterré six-pieds sous terre, méconnu de tous, des questions qui se perdent sur qui je suis, qui j'étais et pourquoi j'ai quitté ma magnifique ville qu'est Paris pour débarquer dans l'université de Chapel hill, des questions qui resteront probablement sans réponses. Pour la première fois depuis longtemps, j'étais heureuse.
Citation :
Et toi, qui es-tu ?
prénom ou pseudo ◭ Effyi. âge ◭ 17ans. pays ◭ France. présence ◭ Généralement je peux passer un peu tous les jours mais pas forcément poster :). Comment as-tu connu le forum ? ◭ Facebook ! Ce que tu en penses. ◭ Juste magnifique . Es-tu un inventé ou un scénario ? ◭ inventé code du règlement ◭ zêta bêta zêta mot de la fin ◭ God save FOS .
Dernière édition par Louve Q. Marshall le Dim 16 Sep - 21:40, édité 4 fois
Fiche de l'élève situation amoureuse: célibataire avec: /Eireann a. McCarthy
Sujet: Re: Louve Q. Marshall ◭ Je dois admettre qu’il est possible que dieu ne m'aime pas du tout. Dim 16 Sep - 13:29
Bienvenue parmi nous Je te souhaite bonne chance pour la fin de ta fiche :D ! le code de ta présentation est validé Si tu as des question n'hésite pas, nous sommes là pour t'aider :)
Autumn J. Phillips
Sujet: Re: Louve Q. Marshall ◭ Je dois admettre qu’il est possible que dieu ne m'aime pas du tout. Dim 16 Sep - 13:29
Bienvenue parmi nous! (:. Si tu as une question, n'hésite pas. Ma boîte à MP est toujours ouverte! Bon courage pour ta fiche. ;).
Louve Q. Marshall
Sujet: Re: Louve Q. Marshall ◭ Je dois admettre qu’il est possible que dieu ne m'aime pas du tout. Dim 16 Sep - 13:31
Merci beaucouuuuup Oui promis j'hésiterai pas si j'ai une question :D
Fiche de l'élève situation amoureuse: célibataire avec: Lou-Ann E. Swenson
Sujet: Re: Louve Q. Marshall ◭ Je dois admettre qu’il est possible que dieu ne m'aime pas du tout. Dim 16 Sep - 14:05
Bienvenue parmi nous =) tout comme l'ont dit mes deux co-administratrices, si tu as des questions, n'hésites pas ♥
Louve Q. Marshall
Sujet: Re: Louve Q. Marshall ◭ Je dois admettre qu’il est possible que dieu ne m'aime pas du tout. Dim 16 Sep - 16:31
Merci beaucouuuuuup
En passant j'ai commencé mon histoire et j'ai changé Amber heard par Karen Gillan en espérant que ça pause pas de soucis :arrow:
Fiche de l'élève situation amoureuse: célibataire avec: Lou-Ann E. Swenson
Sujet: Re: Louve Q. Marshall ◭ Je dois admettre qu’il est possible que dieu ne m'aime pas du tout. Dim 16 Sep - 16:34
C'est Eireann HAAAN tu as mis ma seconde chouchoute en vava *-* décidément entre le groupe et la demoiselle on a les mêmes gouts :P et non ça ne pose pas de soucis t'en fais pas, tu peu tant que tu n'es pas validé si je poste avec Lou-Ann c'est parce que je suis chez elle donc squatt de compte :)
Louve Q. Marshall
Sujet: Re: Louve Q. Marshall ◭ Je dois admettre qu’il est possible que dieu ne m'aime pas du tout. Dim 16 Sep - 16:47
Hanw, je sens qu'on va bien s'entendre *-* Okay' bah je vais terminer dans la soirée il y aura pas de soucis ! Amusez-vous bien toutes les deux ! :face:
M-L. Danneel-Kate Laugier
Sujet: Re: Louve Q. Marshall ◭ Je dois admettre qu’il est possible que dieu ne m'aime pas du tout. Dim 16 Sep - 19:29
GILLIAN en plus *-* bienvenue et bonne chance pour ta fiche ;)
God save the Pim's
Sujet: Re: Louve Q. Marshall ◭ Je dois admettre qu’il est possible que dieu ne m'aime pas du tout. Lun 17 Sep - 8:33
Je te souhaite la bienvenue malgré que tu seras surement bientôt fiché(e) sur mon blog ! Prends garde à tes petits secrets que je pourrais dévoiler au grand jour. Je t'annonce officiellement que tu es validé(e) et je te souhaite un bon jeu parmi nous et beaucoup de petit rp.
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Sujet: Re: Louve Q. Marshall ◭ Je dois admettre qu’il est possible que dieu ne m'aime pas du tout.
Louve Q. Marshall ◭ Je dois admettre qu’il est possible que dieu ne m'aime pas du tout.
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