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(M) Ian Somerhalder ♣ Le hasard fait parfois bien les choses...

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Autumn J. PhillipsAutumn J. Phillips
MessageSujet: (M) Ian Somerhalder ♣ Le hasard fait parfois bien les choses... (M) Ian Somerhalder ♣ Le hasard fait parfois bien les choses... EmptyVen 7 Sep - 11:01


Jérémy Prénom² Nom

« Le hasard fait parfois bien les choses... »

nom ❖ Au choix prénom(s) Jeremy (négociable) surnom(s) Au choix âge 25 ans date et lieu de naissance La date est choix. Pour le lieu c'est une ville belge ou française statut civil / orientation sexuelle Célibataire / Hétérosexuel Étude/métier Au choix / Infirmier groupe Au choix célébrité Ian Somerhalder - Pas négociable. (:.


Il y a uniquement quelques pistes à suivre. Sinon, l'histoire est assez libre.

♥ Il provient d'une famille ayant des revenus moyens.
♥ Il a fait ses études d'infirmier à Bruxelles.
♥ Il a entrepris de reprendre de nouvelles études (au choix) ici, à Chapel Hill en Californie.
♥ Durant ses études, il a réalisé plusieurs jobs d'étudiant afin de pouvoir se payer son petit appartement.
♥ Il faut absolument qu'il soit observateur. J'aimerai aussi qu'il soit sensible.
(M) Ian Somerhalder ♣ Le hasard fait parfois bien les choses... 617463RachelbIc11
(M) Ian Somerhalder ♣ Le hasard fait parfois bien les choses... Ian2
→ prénom p. nom feat Ian Somerhalder
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Le 12 juillet 2001 à 15h23


J'ai, à ce jour, 15 ans. Et figurez - vous que c'est la première fois que je prends l'avion toute seule. J'ai déjà énormément pris l'avion. Toujours obligée de suivre mes parents lors des vacances scolaires. Mais cette fois - ci, j'étais restée là - bas pour faire un peu de shopping. Bizarrement, mes parents avaient accepté. Ils sont tellement parents poules. Mon avion avait attéri à Paris Charles de Gaulle et je devais aller rejoindre le taxi qu'ils m'avaient réservé. J'étais toute seule mais surtout pressée et stressée. Je marchais donc très vite voire courir lorsqu’un jeune homme me fonça dedans. Ma valise s'ouvra en deux et tout se renversa sur le sol... "Désolé, je n'ai pas fait exprès." "C'est de ma faute aussi. Ce n'est pas grave. Mais je dois me dépêcher." Le jeune homme s'abaissait alors pour m'aider à ramasser mes affaires. J'étais rouge de honte. Toute mon intimité était dévoilée devant toutes ces personnes. "Pas mal, pas mal du tout..." Dit-il en me montrant le boxer que je venais d'acheter. Il y avait encore l'étiquette et tout. Mais je l'adorais. Je le regardais alors et le lui arrachais des mains afin de le remettre dans ma valise. Je lui fis ensuite un petit sourire, fermais ma valise et tournais les talons. "Au fait, merci!"

Le 12 juillet 2002 à 14h23


C'était la fête de Louise-Marie le lendemain. J'avais complètement oublié de lui acheter un cadeau. Et c'était quelque chose que nous fêtions toutes les deux. Ma nounou avait toujours voulu avoir un bracelet où nos deux noms étaient notés. Elle prenait soin de moi depuis tellement de temps que j’avais envie de la lier à moi autrement que par des sentiments. Je m'étais donc rendue chez un grand bijoutier qui se trouvait aux Champs Elysées. J'avais envie de lui offrir du Cartier. Une autre de mes exigences était qu'il soit gravé de nos deux noms. Je rentrai donc dans cet immense magasin où personne ne parlait. Les prix n'étaient même pas affichés pour vous dire à quel point cela pouvait coûter cher. J'étais déjà passée il y a quelques jours pour le réserver. Je me dirigeais donc vers un jeune homme, il devait certainement être étudiant vu son jeune âge. "Bonjour, je viens chercher deux bracelets gravés que j'ai réservé." Le garçon se dirigeait vers un petit tiroir où tout cela était bien rangé. Il me les montra et d'un signe de tête, je lui fis comprendre que cela me convenait très bien. " Pouvez-vous les emballer dans le même paquet?" "Oui, bien sûr." Ce qu'il fit directement. Je payais et sorti de cette enseigne. "Au revoir."- "Au revoir, bonne journée."

Le 12 juillet 2003 à 11h23


Tous les ans, à la même date, je suis à Paris. Pourquoi? Tout simplement parce que de la famille proche y habite. Le 13, c'est la fête de ma cousine. Nous le fêtons tous ensemble. C'est une tradition et cela nous permet de pouvoir nous retrouver tous ensemble. Et pour préparer tout cela, je devais me charger des gâteaux et autres pâtisseries. J'avais alors pris ma Vespa bleue claire. Tout était bien emballé et j'arrivais à les tenir tant bien que mal. Mais il y avait de la crème glacée, je roulais donc bien plus vite que d'habitude. De plus, je pris le tournant un peu trop à gauche. J'avais su, de peu, éviter la voiture d'en face mais j'étais violemment tombée de ma Vespa et ma jambe fut quelque peu écrasée. Une ambulance arriva qui m'amena aux urgences. Directement, ils me mirent dans une chaise roulante. Un médecin me conduisit au service de radiologie pour voir les dommages que ma jambe avait subi. Un autre jeune homme était, lui aussi, dans une chaise roulante. Je ne savais pas trop ce qu'il faisait là. Je ne pouvais pas distinguer ce qu'il avait mais je lui fis un petit sourire pour l'encourager.

Le 12 juillet 2004 à 10h23


Ce matin - là, je m'étais réveillée très tôt. Louise-Marie m'avait dit qu'une surprise m'attendait à l'aéroport. Je m'étais donc habillée d'une robe blanche. J'avais bouclé mes cheveux et m'étais maquillée. Ne sachant pas du tout qui j'allais pouvoir serrer dans mes bras, je voulais me montrer plus que présentable. J'étais d'ailleurs passée par le fleuriste pour le ou la remercier de sa venue. Je traversais donc une rue bien fréquentée en heure de pointe. Elle était sur deux bandes. Ce jour - là, j'étais sortie avec ma voiture décapotable rouge. Elle brillait de partout. Je l'avais reçue de mes parents quelques heures plus tôt et pouvait maintenant se trouver une place dans mon immense garage. Euh ... non, parking. Je me stoppais donc au feu rouge et, comme à mon habitude, je relevais mes lunettes de soleil et regardais la personne se trouvant dans la voiture juste à côté. C'était une toute petite voiture blanche, enfin brune à cause de la saleté. Il devait faire une trentaine de degrés dehors et il semblait avoir très chaud. Je lui lançais donc un petit regard et lui souris. Ce qu'il me fit aussi en retour. Mais je le voyais réfléchir. Je n'eus pas le temps de m'attarder, le feu passa au vert ... Ma journée continuait tout en douceur.

Le 12 juillet 2005 à 01h23


J'étais allée à Bruxelles rejoindre mon petit ami avec qui j'avais plus une relation virtuelle. En effet, étant toujours en voyage avec mes parents pour leur boulot, je ne pouvais (savais) m'attacher à personne. Les vacances scolaires et les week-ends prenaient une place importante dans une année. Mon petit ami et moi nous étions donc vus en fin de journée. Et brusquement, avait opté de mettre fin à notre relation. Ses raisons? Nous ne nous voyons que très peu à son goût et pour lui, cela n'en valait pas la peine. J'avais donc très vite tourné les talons. Je m'étais donc dirigée vers une boîte de nuit qui s'appelle le "Carré", endroit où j'allais souvent lorsque j'étais en Belgique. Je bus quelques verres et finis par ne plus savoir qui j'étais ni où j'étais. J'en demandais alors encore un au barman.
"Encore un, s'il vous plaît! Cette fois - ci, une vodka redbull." - "Non, je ne vous le donne pas. Vous avez vu votre état? Ça suffit maintenant!" Il sortit alors de son enclos et me prit la main pour me mettre dehors. Il appela un taxi et regardais dans mon porte - feuille où j'habitais. Ce qu'il eut du mal à savoir vu que je n'avais pas d'endroit fixe... Il finit par trouver un numéro à appeler en cas d'urgence et appela Louise-Marie. Celle - ci lui dit tout simplement où me renvoyer. Il paya le taxi et tout rentra dans l'ordre.

Le 12 juillet 2006 à 10h23


Dès mon réveil, j'avais eu une folle envie d'aller me promener. Le soleil était au rendez - vous, ce qui était plutôt rare à Bruxelles, et je n'avais plus fait de roller depuis un petit moment. Je m'étais donc habillée tout simplement et m'étais mise en route. Mon objectif? Trouver une boulangerie et parler néerlandais pour m'exercer. J'avais envie d'un maton. Il y a une chose qu'il faut savoir sur moi : j'ai extrêmement peur des chiens. Alors que j'étais tranquillement en train de faire du roller vers une boulangerie, un jeune homme avec un gros chien en laisse vint dans l'autre sens. J'accélérais donc le mouvement afin de ne plus le voir. Je passais donc très vite à côté de cet homme et l'effleurait.

Le 12 juillet 2007 à 16h23


Cet été - là, j'étais sur Paris. Ayant fait le tour de la piscine de l'hôtel, j'avais décidé d'aller dans une piscine de la commune. J'avais envie de toboggans, de sensations fortes et pas juste nager. Bien que j'adorais le sport. Je me baladais autour de l'eau afin de regarder bien attentivement toutes les attractions possibles. Mais j'étais très fort sur le bord de l'eau. Une piscine était réservée aux nageurs expérimentés et personne n'y avait pied. Ce jour - là, des tonnes de petits jeunes courraient partout. Je fus violemment poussée dans l'eau et évitais de peu de me cogner la tête. Un sauveteur sauta dans l'eau pour me remonter à la surface. Une fois hors de l'eau, je le regardais avec un petit sourire.
"Merci beaucoup, mais je sais nager." : lui dis - je en souriant. "Vous avez manqué la bordure, j'ai juste eu peur..." "Ne vous en faites pas. Cela veut dire que vous faites très bien votre boulot." "Merci" : dit - il en pensant qu'il avait vu cette jeune fille tellement de fois. "Passez une bonne journée, je vais y aller." "Merci, à vous aussi."

Le 12 juillet 2008 à 01h23


Cette fois - là, il rencontra une fille qui me ressemblait fortement à Paris. Contrairement à moi, cette jeune fille adore bouquiner. Elle lisait des livres à une vitesse folle et était capable d'en dévorer cinq par mois. D'ailleurs, c'était une de ses occupations principales. "Oh, bonjour toi! Tu vas mieux depuis l'année passée?" "Euh ... Vous parlez à qui, là? Parce que je ne comprends rien du tout à ce que vous dites..." "J'ai dû faire erreur."
"Oui, certainement. Au revoir!"

Le 12 juillet 2009 à 15h23


Je suis partie en vacances à Saint - Tropez avec mes parents. Nous avions une villa juste à côté de celle de Johnny Halliday. Autant vous dire que notre maison est immense et comprend facilement une dizaine de chambres avec chacune une salle de bain personnelle. Ensuite, nous avons une énorme piscine. Et un parc grandiose. J'avais tout pour être comblée, je n'avais besoin de rien mais juste envie de sortir en ville m'acheter un T-shirt ou deux. J'étais donc partie en mini - short sexy, au - dessus, je portais un bikini fort échancré. Je me rendis vers une enseigne qui vendait des glaces. Je faisais gentiment la file qui était assez longue. Rapidement, un jeune homme se mit derrière moi. Je tournais donc discrètement. J'étais toujours prête à draguer, moi. Je me rendis compte de qui c'était. Le jeune homme de la piscine. Nous avons alors discuté, échanger nos numéros de téléphone et nos e-mails, se promettant de se revoir un jour...



Alors, à vous de jouer !

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